La maison de la poésie d’Amay est née en 1964 de la rencontre des deux Francis – Chenot et Tessa – poètes qui amorceront leur alliance par la création d’un premier spectacle littéraire. Avant de devenir « Maison de la poésie », cette ASBL s’appela simplement Identités et se fit connaître via la revue Vérités, qui deviendra enfin L’arbre à paroles, appellation qui s’étendra par la suite à l’ensemble des éditions.
À la une
Les apéros poéVIE de la Maison #15 – Sur le chemin
Lors de ce quinzième rendez-vous, on reprend la formule habituelle, un atelier d'écriture (animé par l'Ami Terrien), le dévernissage de l'exposition temporaire suivis d'une rencontre avec l'artiste et autrice Pascale Moulias dont le livre "Sur le chemin" (maelstrÖm reEvolution,
2020) retrace son périple sur les chemins de Compostelle.
Les apéros poéVIE de la Maison #16 – Quatre saisons plus une
Nous avons le plaisir de vous convier au seizième apéro poéVIE de la Maison qui aura lieu le samedi 19 octobre dès 16h en présence de l'artiste Marilène Greco ainsi que l'autrice Sophie Pirson qui nous présentera son nouveau recueil paru dans la collection iF. Un livre nécessaire, rare et juste présenté par Antoine Wauters (dir. de la collection iF).
Voir les détails »EXPO « Les saisons de la colère » de Marilène Greco
La Maison de la poésie d"Amay vous invite à découvrir l'exposition "Les saisons de la colère" de Marilène Greco du 20/10 au 03/11. Vernissage le samedi 19 octobre.
Voir les détails »Nos parutions récentes
Mon corps d’avant raconte ce que l’arrêt momentané du cœur chamboule, perturbe et fait renaître, puisque il est entendu que, passé l’orage, rien ne peut plus être comme avant. Les rythmes complexes du monde, le rapport au temps, aux autres, à l’espoir et à la poésie, rien ne peut plus être comme avant.
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Les Nuits filantes puisent leur substance dans le mélange de deux émotions, la joie sans borne d’une mère observant son premier enfant et une forme de mélancolie qui en serait indissociable.
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Sans lassitude des paysages est né dans le mouvement et le bruit. Les poèmes qui le composent disent l’existence dans sa simplicité, le regard qui fixe les minutes, l’instantané des rencontres, l’exploration du sensible et surtout la tentative d’accès à la joie et à la poésie.
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Timotéo Sergoï a marché trois mois durant, dormi dehors souvent, croisé des sourires et des colères, pris des nouvelles des voisins. Nous sommes tous voisins ici, puisque venus à pied dans ce café, cette forêt ou ce marché. Pourquoi a-t-il marché ces 801 km ?
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